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Legend-Marilyn-MONROE

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Marilyn Monroe Marilyn Monroe - When I Fall In Love

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Création : 20/02/2012 à 05:56 Mise à jour : 27/05/2012 à 10:54

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"River of no return" (La rivière sans retour) d'Otto PREMINGER / Paroles et vidéo de la chanson "Down in the meadow", et Marilyn posant lors du tournage du film : ANALYSE et CRITIQUE (suite et fin) / Après ce western de commande, PREMINGER vendra sa villa hollywoodienne pour racheter ses dernières années de contrat Fox à ZANUCK, et s'exilera à New York, berceau de ses premiers succès américains dans le théâtre. Il livrera alors une série de chefs-d'œuvre amorcée dès le film suivant, "Carmen Jones". Mais il ne reviendra malheureusement plus jamais au western. C'est fort dommage, car ne seraient-ce les inévitables transparences dues au sujet qui viennent parfois entacher la saisissante beauté de cet exaltant et très moral récit d'aventures, "River of no return" aurait sa place parmi les plus beaux fleurons du genre. Il s'en faut d'un rien.

"River of no return" (La rivière sans retour) d'Otto PREMINGER / Paroles et vidéo de la chanson "Down in the meadow", et Marilyn posant lors du tournage du film : ANALYSE et CRITIQUE (suite et fin) / Après ce western de commande, PREMINGER vendra sa villa hollywoodienne pour racheter ses dernières années de contrat Fox à ZANUCK, et s’exilera à New York, berceau de ses premiers succès américains dans le théâtre. Il livrera alors une série de chefs-d’œuvre amorcée dès le film suivant, "Carmen Jones". Mais il ne reviendra malheureusement plus jamais au western. C’est fort dommage, car ne seraient-ce les inévitables transparences dues au sujet qui viennent parfois entacher la saisissante beauté de cet exaltant et très moral récit d’aventures, "River of no return" aurait sa place parmi les plus beaux fleurons du genre. Il s’en faut d’un rien.
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"River of no return" (La rivière sans retour) d'Otto PREMINGER / Paroles et vidéo de la chanson "Down in the meadow", et Marilyn posant lors du tournage du film : ANALYSE et CRITIQUE (suite et fin) / Après ce western de commande, PREMINGER vendra sa villa hollywoodienne pour racheter ses dernières années de contrat Fox à ZANUCK, et s’exilera à New York, berceau de ses premiers succès américains dans le théâtre. Il livrera alors une série de chefs-d’œuvre amorcée dès le film suivant, "Carmen Jones". Mais il ne reviendra malheureusement plus jamais au western. C’est fort dommage, car ne seraient-ce les inévitables transparences dues au sujet qui viennent parfois entacher la saisissante beauté de cet exaltant et très moral récit d’aventures, "River of no return" aurait sa place parmi les plus beaux fleurons du genre. Il s’en faut d’un rien. "River of no return" (La rivière sans retour) d'Otto PREMINGER / Paroles et vidéo de la chanson "Down in the meadow", et Marilyn posant lors du tournage du film : ANALYSE et CRITIQUE (suite et fin) / Après ce western de commande, PREMINGER vendra sa villa hollywoodienne pour racheter ses dernières années de contrat Fox à ZANUCK, et s’exilera à New York, berceau de ses premiers succès américains dans le théâtre. Il livrera alors une série de chefs-d’œuvre amorcée dès le film suivant, "Carmen Jones". Mais il ne reviendra malheureusement plus jamais au western. C’est fort dommage, car ne seraient-ce les inévitables transparences dues au sujet qui viennent parfois entacher la saisissante beauté de cet exaltant et très moral récit d’aventures, "River of no return" aurait sa place parmi les plus beaux fleurons du genre. Il s’en faut d’un rien. "River of no return" (La rivière sans retour) d'Otto PREMINGER / Paroles et vidéo de la chanson "Down in the meadow", et Marilyn posant lors du tournage du film : ANALYSE et CRITIQUE (suite et fin) / Après ce western de commande, PREMINGER vendra sa villa hollywoodienne pour racheter ses dernières années de contrat Fox à ZANUCK, et s’exilera à New York, berceau de ses premiers succès américains dans le théâtre. Il livrera alors une série de chefs-d’œuvre amorcée dès le film suivant, "Carmen Jones". Mais il ne reviendra malheureusement plus jamais au western. C’est fort dommage, car ne seraient-ce les inévitables transparences dues au sujet qui viennent parfois entacher la saisissante beauté de cet exaltant et très moral récit d’aventures, "River of no return" aurait sa place parmi les plus beaux fleurons du genre. Il s’en faut d’un rien. "River of no return" (La rivière sans retour) d'Otto PREMINGER / Paroles et vidéo de la chanson "Down in the meadow", et Marilyn posant lors du tournage du film : ANALYSE et CRITIQUE (suite et fin) / Après ce western de commande, PREMINGER vendra sa villa hollywoodienne pour racheter ses dernières années de contrat Fox à ZANUCK, et s’exilera à New York, berceau de ses premiers succès américains dans le théâtre. Il livrera alors une série de chefs-d’œuvre amorcée dès le film suivant, "Carmen Jones". Mais il ne reviendra malheureusement plus jamais au western. C’est fort dommage, car ne seraient-ce les inévitables transparences dues au sujet qui viennent parfois entacher la saisissante beauté de cet exaltant et très moral récit d’aventures, "River of no return" aurait sa place parmi les plus beaux fleurons du genre. Il s’en faut d’un rien. "River of no return" (La rivière sans retour) d'Otto PREMINGER / Paroles et vidéo de la chanson "Down in the meadow", et Marilyn posant lors du tournage du film : ANALYSE et CRITIQUE (suite et fin) / Après ce western de commande, PREMINGER vendra sa villa hollywoodienne pour racheter ses dernières années de contrat Fox à ZANUCK, et s’exilera à New York, berceau de ses premiers succès américains dans le théâtre. Il livrera alors une série de chefs-d’œuvre amorcée dès le film suivant, "Carmen Jones". Mais il ne reviendra malheureusement plus jamais au western. C’est fort dommage, car ne seraient-ce les inévitables transparences dues au sujet qui viennent parfois entacher la saisissante beauté de cet exaltant et très moral récit d’aventures, "River of no return" aurait sa place parmi les plus beaux fleurons du genre. Il s’en faut d’un rien. "River of no return" (La rivière sans retour) d'Otto PREMINGER / Paroles et vidéo de la chanson "Down in the meadow", et Marilyn posant lors du tournage du film : ANALYSE et CRITIQUE (suite et fin) / Après ce western de commande, PREMINGER vendra sa villa hollywoodienne pour racheter ses dernières années de contrat Fox à ZANUCK, et s’exilera à New York, berceau de ses premiers succès américains dans le théâtre. Il livrera alors une série de chefs-d’œuvre amorcée dès le film suivant, "Carmen Jones". Mais il ne reviendra malheureusement plus jamais au western. C’est fort dommage, car ne seraient-ce les inévitables transparences dues au sujet qui viennent parfois entacher la saisissante beauté de cet exaltant et très moral récit d’aventures, "River of no return" aurait sa place parmi les plus beaux fleurons du genre. Il s’en faut d’un rien.
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#Posté le lundi 02 avril 2012 03:58

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marilyn12, Posté le mercredi 23 septembre 2015 13:35

https://www.youtube.com/watch?v=raiyHxFrBqA


jssica, Posté le lundi 02 avril 2012 20:40

Elle avait une voix d'ange.


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  • Marilyn pose sur le tournage du film "River of no return" (La rivière sans retour) d'Otto PREMINGER. lun. 02 avril 2012
  • "River of no return" (La rivière sans retour) d'Otto PREMINGER / CRITIQUE / S’il est loin d’être un titre phare du western, "Rivière sans retour" est surtout l’occasion de voir Marilyn en chanteuse de saloon. Comme souvent dans les films où elle apparaît, de nombreuses scènes sont prétextes à la voir chanter, même si ça tombe comme un cheveu sur la soupe (un peu comme dans certains Disney). Toutefois ces scènes là sont assez réussies et les mélodies plutôt agréables et collant bien avec l’atmosphère du film.  Le vrai point central de ce film est la relation amour-haine entre Marilyn et le personnage de Robert MITCHUM, véritable macho comme on n’oserait plus en montrer aujourd’hui, usant de sa force pour se faire obéir, traitant les femmes comme des bobonnes et décidant ce qu’elle doit faire ou non. Et en bonne femme soumise Marilyn dit oui à tout ou presque. Au delà de cet aspect un peu douteux aujourd’hui, on peut y voir la complexité des relations entre un homme dévoué à l’éducation de son fils et cherchant à rattraper un passé houleux, et une femme soumise qui s’accroche à son ordure de petit ami en fermant les yeux sur ses méfaits en lui cherchant des excuses, et lui donnant ses maigres gains obtenus en chantant dans les saloons. Son émancipation va se réaliser au travers des aventures qu’elle va vivre dans la nature sauvage. lun. 02 avril 2012
  • "River of no return" (La rivière sans retour) d'Otto PREMINGER / AUTRE CRITIQUE / Le film l'assène régulièrement : "La rivière est sans retour". Pourtant, à aucun moment on ne ressent l'urgence et la panique que le voyage forcé sur cet impitoyable cours d'eau induit. Cette absence de tension est due, semble-t-il, à l'inefficacité presque exemplaire des scènes d'action sur le radeau ; on ne peut pas dire qu'elles aient mal vieilli car il ne semble pas qu'elles aient pu un jour avoir un quelconque effet sur le spectateur. Les incrustations ratées, les plans subjectifs affreux, les problèmes d'échelle, la bande-son hors de propos et le montage impuissant à insuffler l'épique ne provoquent au mieux qu'un ennui poli.  Manifestement, Otto PREMINGER n'est pas à l'aise avec l'Aventure et si le métrage contient quelques belles réussites, c'est ailleurs que dans cette futile promesse du titre.  On éprouve un réel plaisir à voir évoluer dans ces décors naturels les corps de Robert MITCHUM et Marilyn MONROE – les corps, oui, car ce n'est pas pour la sophistication de leur jeu qu'on les saluera ici. Les acteurs sont bel et bien présents, parés à tout offrir, mais ils défendent une partition particulièrement pauvre où défilent personnages stéréotypés – la brute au cœur tendre, l'enfant naïf en plein parcours initiatique, la femme qui oscille entre maman et putain - et dialogues sans saveur. De fait, les séquences les plus réussies émanent du simple spectacle de MONROE qui ramasse du bois ou de MITCHUM attrapant un cerf au lasso, deux chairs bien ancrées dans leur genre dont la confrontation avec cette authentique faune est d'autant plus charmante qu'on a l'impression d'assister à leur première sortie hors des studios.   A un moment, Kay, personnage de MONROE, plus tôt tombée à l'eau, se fait réchauffer par Matt CALDER, personnage de MITCHUM. Kay est nue sous une couverture et, à travers le tissu, CALDER la frictionne dans sa brutalité sereine d'homme des champs – c'est le summum de la rencontre charnelle. Malheureusement, la scène, soutenue par un fort potentiel érotique, est parasitée par l'utilisation d'une musique bucolique en décalage. Pour la deuxième fois, nous faisons mention de ces mélodies inadéquates : c'est que c'est un problème substantiel de l'œuvre. La bande originale a autant d'intensité qu'une musique d'habillage libre de droit et n'ajoute rien jamais rien aux situations.   Paradoxalement, l'autre grand succès de l'affaire se situe dans les scènes musicales. Sobrement mises en scène, souvent en un seul plan, elles sont portées et transportées par le charisme de Marilyn, qui trouve en ces numéros un terrain de jeu à sa hauteur. Ainsi, l'émotion ne survient à proprement parler qu'au détour de la chanson éponyme, interprétée avec une maîtrise délicieuse.  Hélas, ces bulles de fraîcheur dans le flot mou sont trop peu nombreuses pour qu'on ait envie de revenir y plonger, et c'est peut-être en ça que la rivière est sans retour. lun. 02 avril 2012
  • "River of no return" (La rivière sans retour) d'Otto PREMINGER (photos du film et Marilyn posant lors du tournage pour une session publicitaire). lun. 02 avril 2012
  • 1953 "River of no return" (La rivière sans retour) d'Otto PREMINGER / ACCIDENT / En 1953, alors qu'elle tourne "La rivière sans retour", Marilyn se fait une entorse à la cheville. Pendant longtemps on a prétendu qu'elle avait simulé pour se venger du réalisateur avec lequel elle entretenait des relations tendues. On sait aujourd'hui qu'il n'en est rien et qu'au contraire, l'actrice a fait preuve du plus grand professionnalisme. En effet, les archives du médecin canadien qui l'a soignée dans un premier temps, révèle "une entorse sévère de la cheville gauche avec suspicion de déchirure ligamentaire et d'arrachement osseux nécessitant une immobilisation complète". Le diagnostic est corroboré par les clichés radiographiques effectués après la fin du tournage dans un hôpital new-yorkais. De fait, la cheville de Marilyn, fragilisée par des antécédents d'entorses multiples, sera plâtrée pendant près de six semaines. Sur le tournage elle refuse le plâtre et se contente d'un bandage mais ne peut faire autrement que d'accepter les béquilles. En effet, il lui est impossible de s'appuyer sur son pied et ne peut porter une chaussure. Même en béquilles, elle saura se montrer fidèle à elle-même : fragile mais ô combien attirante.  En somme, la plus célèbre des entorses du cinéma mondial. lun. 02 avril 2012
  • "River of no return" (La rivière sans retour) d'Otto PREMINGER / TENSION / L'hostilité régna sur le plateau lorsque le réalisateur Otto PREMINGER et Marilyn entamèrent une guerre d'usure. PREMINGER fit clairement comprendre qu'il travaillait sur ce film uniquement parce qu'il en était redevable par contrat à la Fox; Darryl ZANUCK lui fit miroiter la technologie du nouveau Cinémascope, et certains critiques notèrent que PREMINGER avait plus envie de filmer le paysage spectaculaire que d'arracher une interprétation dramatique à ses acteurs.  Comme  bon nombre de ses confrères il avait interdit au professeur d'art dramatique de Marilyn, Natasha LYTESS, l'accès au tournage, pour ne la rappeler que si le siège de la Fox le lui demandait comme une faveur.  Physiquement, ce fut un rôle très exigeant pour Marilyn, une grande part de l'action impliquant de faire tomber les protagonistes dans la rivière lors du franchissement de ses effrayants rapides.  Pour ses scènes, il fallut tremper Marilyn avec des seaux d'eau pour les raccords.  PREMINGER insista pour que ses vedettes fassent elles-mêmes leurs cascades, ce qui ne fut pas sans conséquences. Ainsi le radeau de Marilyn et de son partenaire Robert MITCHUM resta bloqué dans les rapides, et il fallut les secourir.  Dans ce film, Marilyn devait interpréter quatre chansons de Ken DARBY et Lionel NEWMAN, et elle répéta inlassablement « One silver dollar », « I'm gonna file my claim », « Down in the meadow » et la chanson-titre « River of no return », jusqu'à l'approcher de la perfection.  L'été où le film sortit, RCA vendit plus de 75 000 disques de « I'm gonna file my claim » en trois semaines seulement.  Les deux dernières semaines de tournage, Joe DiMAGGIO rejoignit Marilyn, notamment parce qu'elle avait été victime d'un accident : durant le tournage, elle était tombée du radeau dans l'Athabasca. Un médecin local diagnostiqua une possible entorse ; les médecins du studio ne virent là rien de sérieux, mais Marilyn insista pour porter un bandage, et pendant quelques jours elle boitilla sur des béquilles, posant pour la presse. lun. 02 avril 2012
  • "River of no return" (La rivière sans retour) d'Otto PREMINGER / Quand joe rejoint Marilyn sur le tournage en apprenant son accident... lun. 02 avril 2012
  • "River of no return" (La rivière sans retour) d'Otto PREMINGER / Western psychologique, précurseur des westerns écologiques des années 70, c'est une allégorie de la libération que chacun doit provoquer en lui-même pour atteindre le bonheur.  Le bonheur de "La rivière sans retour" est une notion à la fois formelle et morale. Sur le plan formel, PREMINGER valorise tous les éléments formels mis à sa disposition : les extérieurs canadiens, le CinémasCope (maîtrise du cadre dès le prégénérique, scènes de salon exploitant avec aisance toutes les ressources de l'écran large, usage de la grue particulièrement brillant) Marilyn MONROE.  Sur le plan moral "La rivière sans retour" est par excellence le film de la libération. Au fur et à mesure des péripéties, les personnages se débarrassent, s'allègent de leurs préjugés, de leurs illusions comme de leurs biens matériels. Les étiquettes, les vieux démons, les idées fausses volent en éclats ou sont anéantis, tandis que les personnages forment peu à peu une vraie famille, découvrent avec une gravité teintée d'humour ce qui leur convient le mieux. La traversé du fleuve équivaut pour eux à un bain de jouvence d'où le spectateur sort lui aussi régénéré. lun. 02 avril 2012
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